À propos

Ruptare

Un début qui tonne, évoquant la rue… ou la rupture !

logo-ruptare_12_fus

Une fin qui se laisse difficilement saisir,  comme une énigme à déchiffrer.

Un écho du latin qui renvoie à ‘ruptio‘, comme dans ‘disruptio‘ (disruption, interruption), à l’infinitif … se prononçant «rouptarè».

Quelque chose de mon américanité également, car ‘tare‘, ça se prononce en anglais comme ‘tear‘ (le verbe), qui veut dire déchirer. Et «rupture», ça s’écrit pareil (là, vous devinez que je suis québécois) en anglais.

Mais surtout, de mon point de vue, il y a une allusion à «rapture» (c’est un anagramme), cet emportement qui caractérise le poète au comble de l’inspiration, le fait d’être arraché à soi. On verra, probablement, le lien avec l’emballement de l’amant dans l’élan de la passion érotique. Mais c’est surtout à une politique de l’extase qu’il faudrait songer, pour me suivre dans mon délire poétique.

Je suis déchiré entre ces deux interprétations.

Quoiqu’il en soit, rompre peut être un prétexte à renouer.

Qui sait quelles directions prendront les deux brins de la corde ?

Pour en savoir plus sur l’auteur de ces lignes, suivez le fil de votre imagination à l’évocation de ces mots : Homelio Magnolia…

Homegnolia

Ou alors, de manière plus prosaïque, si vous avez besoin de faire produire un livre numérique, apprenez-en plus en visitant l’atelier de FabMx

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *